L’espérance de vie augmente et nous vivons toujours de plus en plus vieux, nous gagnons même pratiquement une année de vie supplémentaire tous les quatre ans.
Les conséquences de l’allongement de l’espérance de vie
Il y a quarante ans, on n’osait plus se lancer dans de grands projets à l’orée du troisième âge, car on avait de fortes chances de décéder avant d’avoir fini de rembourser les crédits contractés en conséquence, or on ne voulait certainement pas léguer de dettes à nos héritiers ou pire, laisser notre conjoint à la fois avec des ressources restreintes et des contraintes financières insurmontables (à cette époque, la plupart du temps un des deux conjoints avait une activité professionnelle déclarée).
Ajourd’hui, l’espérance de vie moyenne tournant autour des 80 ans, une personne qui contracterait un emprunt sur 15 ans à l’âge de 60 ans aurait donc toutes ses chances de pouvoir l’honorer jusqu’au bout, sauf autres contraintes financières.
De plus, l’évolution de la société et de la conjoncture économique font qu’un certain de personnes font l’acquisition de leur résidence principale de plus en plus en plus vieux et se voient même contraints d’allonger la durée des remboursements pour pouvoir réaliser leur projet sans pour autant s’exiler dans la creuse ou opter pour un cagibi.
Mais l’avancée dans l’âge reste un frein pour les banques et les organismes de crédit qui ne proposent bien souvent pas d’assurance de prêt pour leurs clients emprunteurs au delà de 70 ans.
Donc, passé un certain âge, la garantie décès n’est pas rendue possible dans les termes des contrats groupe et plus on emprunte tard, plus on se voit obligé de réduire la durée de la période de remboursement qui doit donc bien souvent s’achever à 70 ans.
Les solutions d’assurance de prêt jusqu’à 85 ans à l’adhésion.
Nous sommes donc confrontés à un véritable paradoxe puisque l’amélioration de la qualité de vie confortée par celle des soins nous permet de vivre mieux plus longtemps, mais les organismes financiers ne nous permettent pas de profiter du crédit pour la réalisation de nos projets à un âge quelque peu plus avancé, alors même que nous arrivons plus vieux dans la vie active et que l’âge des grands projets recule d’autant.
L’avancée en âge ne devrait donc pas être synonyme de refus d’emprunt à cause de l’assurance crédit qui ne vous couvrirait plus passé 70 ans, alors-même que vous avez toutes vos chance de vivre au-delà des 80 ans.
Chacun doit avoir la possibilité de concrétiser ses projets tout au long de sa vie, à partir du moment où le risque reste raisonnable, or on peut légitimement penser qu’emprunter sur 15 ans à l’âge de 60 ans reste raisonnable, non?
Grâce à une étude personnalisée et des conseillers attentifs, vous avez la possibilité de trouver la solution en assurance de prêt la mieux adaptée et aux meilleures conditions garanties/prix en consultant un courtier en assurance, un courtier en crédits ou pourquoi pas, un conseiller en gestion de patrimoine.
Et pourquoi ne pas tout simplement contracter une assurance décès auprès de votre assureur et faire ce qu’on appelle une délégation d’assurance à l’organisme prêteur, plutôt que de choisir un contrat groupe plus contraignant et bien souvent souvent moins adapté à votre situation?
Photo de One Way Stock 
Photo de jacme31